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 Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara]

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Zwan Ist'Equin
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Zwan Ist'Equin


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MessageSujet: Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyDim 18 Juil 2010 - 14:51

[vient du quartier de Darva]

La règle était simple. Zwan était apothicaire quand il n'avait rien d'autre. EN plus de son travail d'assassin, il gagnait un peu d'argent. Il vendait toutes sortes de choses. Surtout ds poisons. En plus, sa boutique était en plein centre du quartier de Darva. Ses principal clients étaient aussi ses rivales : des assassins. Ils étaient plusieurs à se partager le pactole. M'enfin bon, en même temps, les demandes se faisaient de plus en plus en fréquentes. C'était quoi le délire ? Il y avait trop de monde sur ce monde ? Les déesses traficotaient les cerveaux des gens pour les obliger à demander de l'aide à des tueurs ? De son point de vue, ça devenait n'importe quoi...
Il sortit un parchemin de sa poche. Aujourd'hui, il devait des comptes à une certaine Amara, danseuse du vent. C'était débile tous ces surnoms à la noix. En plus, il ne pourrait rien apprécier d'elle. Il pressentait qu'elle serait laide.

*Qu'est ce que t'en sais ?*

- La ferme, toi ! Je t'ai pas causé, c'est clair ? Et puis d'abord je sais pas qui t'es espèce de démon sans cervelle.

*Je suis toi, alors si tu me traites de démon sans cervelle, tu es forcément ce que dis que je suis.*

L'assassin soupira. Il était sur d'être habité par un démon. Et pourtant, il faisait fausse route. Il ne savait pas qu'il avait une tendance schizophrène.
Il arriva enfin sur la place de la tour. Après avoir entendu quelques éclats de voix, senti l'odeur des marchandises, il décréta que le quartier du feu n'était guère loin. Il ne s'était pas trompé. Il se matérialisa au milieu de la foule, à quelques mètres de la tour. Il trouvait ça dommage d'avoir un pouvoir aussi limité, mais c'était déjà mieux que rien.
Un noble avec une bourse pleine d'or passa à ses côtés. La bourse disparut pour réapparaitre dans la main du voleur. Terriblement amusant.

Après quelques tours et détours à travers des ruelles plus ou moins sombres, une foule presque hypnotisée se formait autour de quelque chose. Ou quelqu'un. Intriguée par la belle et douce voix qui provenait du centre, il joua des coudes... Et faillit tomber à la renverse.
Une jeune femme aux cheveux noirs ébènes dansait merveilleusement bien, jouait avec la brise et chantait le vent avec, à ses côtés, une chouette.
"En plus, sa tenue est bien moulante et presque transparente... agréable à regarder..." pensa-t-il. Il avait de ses idées...
Soudain, il se souvent de son travail. "Amara, danseuse du vent". Et si c'était... elle ?

*Tu vois, je t'avais dit qu'elle serait belle*

Zwan n'en croyait ni ses yeux, ni ses oreilles. Il attendit là, hypnotisé comme la foule par les gracieux et élégants mouvements de la jeune inconnue qu'il était censé tuer. Lorsque la foule se dissipa sous le soleil de midi et qu'Amara arrêta de danser, il se lança à l'attaque.

Vous dansez merveilleusement bien ! Mais s'il vous plait, j'ai à vous parler.

Il prit la main douce de la jeune fille. On aurait dit de la porcelaine, et il la pressa avec délicatesse, de peur de briser cette magnificence. Il l'entraina dans un petite ruelle déserte et la regarda droit dans les yeux. il lui sourit, prouvant ainsi qu'il n'allait pas la violer. Danser dans la rue en étant aussi belle qu'une princesse pouvait s'avérer plutôt dangereux... Et la jeune femme semblait en être parfaitement consciente.
Il toussota mais sa gorge se serrait de plus e plus. Pour la première fois de sa vie, il n'avait pas vraiment envie de tuer. Même si elle lui rapporterait beaucoup d'argent.
Avant qu'elle ne prenne la parole, il l'appuya contre le mur pour éviter qu'elle ne s'enfuie puis la relâcha. Mais il resta tout de même sur ses gardes : il ne voulait pas la faire fuir.

Tout de mes excuses, je suis horriblement navré de vous annoncer cette nouvelle aussi terrible mais... Je dois vous tuer. Désolé.
Mais, je vous laisse choisir votre mort. J'ai un poison qui fait mourir rapidement. Ne résistez pas...


[comptabilisé]


Dernière édition par Zwan Ist'Equin le Dim 18 Juil 2010 - 17:16, édité 1 fois
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Amara
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyDim 18 Juil 2010 - 17:12

Cette matinée était tout aussi étouffante que hier, le soleil brûlait déjà ma peau et le vent se faisait rare mais lorsqu'il se levait je profitait pleinement de sa fraîcheur qui était la bienvenue. Aujourd'hui je mis ma nouvelle tenue de danse toute aussi moulante que la dernière de couleur violine mélangé avec du rouge, rose, bleu et doré, je n'avais pas pu résister, elle m'avait terriblement plus. J'entendais encore les réticence de Shihara à l'acheter mais je l'ai fais taire d'un seule regard. Depuis mon enfance, j'ai toujours était attiré par les belles tenues des danseuses, elles étaient toutes coloré de magnifiques tons claires qui ne pouvaient que donné le sourire et la joie.

Arrivée à une place à l'ombre pour mon plus grand plaisir, je déroulai mon écharpe de soie spéciale prenant une première pause et je commençai à chanter et à danser, les passants s'arrêtèrent me regardant hypnotisé par mon chant, j'effectuai des mouvements souples et gracieux tout en utilisant ma magie de l'air mais très peu, juste pour donner un peu de style et de féerie à ma danse. J'adorai voir dans le regard des spectateurs la joies et le regards brillants des enfants quand ils me regardaient cela me procurait autant de joie que je leur offrait. Shihara comme à son habitude tournoyait autour de moi, les enfants applaudissaient avec leur petites mains pour en redemander encore. A la fin de ma danse, je fis une révérence toute aussi gracieuse en leur offrant un sourire lumineux, je pris mon petit sac où les pièces s'étaient amoncelé. Puis un homme d'une grande beauté m'accosta.

- Vous dansez merveilleusement bien ! Mais s'il vous plait, j'ai à vous parler.

- Merci c'est très gentil.

Avant que je n'ajoutai quelque chose, il me prit la main avec douceur et m'entraîna dans une ruelle déserte me regardant droit dans les yeux. Je pressentais qu'il allait m'arriver quelque chose, je ne sais pas pourquoi mais il y avait quelque chose dans son regard de très mystérieux. Il me regardait intensément, cela me troublait légèrement mais je n'arrivais pas à me retirer de lui. Puis il parla enfin.

- Tout de mes excuses, je suis horriblement navré de vous annoncer cette nouvelle aussi terrible mais... Je dois vous tuer. Désolé.
Mais, je vous laisse choisir votre mort. J'ai un poison qui fait mourir rapidement. Ne résistez pas...


Alors là ! Je ne m'attendais pas du tout à cette nouvelle, s'il croyait me faire peur, il se trompait lourdement, la mort ne me faisait aucunement peur et de plus s'il croyait j'allais me laissé faire.

- Moi aussi je suis désolé car je vais devoir m'en aller.

Après ses mots, aussi vive et discrète qu'un félin je sautai au dessus de lui pour attérir quelque centimètres plus loin, je me retournais tout de même car l'envie me titillait de m'amuser avec lui. Décidemment, j'attirai toujours les mauvais garçons.

- J'aime beaucoup trop la vie pour accepter de mourir et si vous croyez que c'est la première fois que je fais fasse à la mort vous vous trompez lourdement. Si vous voulez me tuer, il faudra me battre. Ce n'est pas parce que je ressemble à une faible femme que j'en suis une. Et je pourrai bien vous suprendre.

Puis avec un sourire chameur et mes yeux émerade pétillant de malice et brillant comme ceux d'un chat dans la nuit j'atoutais.

- Mais je dois avouer que l'Ange de la Mort est terriblement séduisant.
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Zwan Ist'Equin
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyDim 18 Juil 2010 - 17:38

Elle voulut s'éloigner de Zwan mais elle était coincé. L'assassin et le mur. Infranchissables. Il crut apercevoir s'allumer dans son regard une lueur de peur. Mais il se trompait. Ce n'était que de la surprise.

- Moi aussi je suis désolé car je vais devoir m'en aller.

A ce moment là, le plus surpris des deux était sans doute Monsieur Ist'Equin. Il ouvrit la bouche. La referma. Visiblement, il ne s'attendait pas à cette réponse. Il était vriament idiot. Comme si elle allait se laisser faire.
Un léger sourire passa sur son visage. Une femme belle, fatale et rebelle. Mais que demandait le peuple ?
Elle sauta au dessus de lui à l'aide du vent, surement, car un homme "normal" n'aurait jamais pu faire une chose pareille. Voilà qui compliquait les choses. Elle atterrit quelques centimètres plus loin, telle un félin et à cet instant, il avait l'impression d'être un gros balourd à côté de la grâce d'Amara.

- J'aime beaucoup trop la vie pour accepter de mourir et si vous croyez que c'est la première fois que je fais fasse à la mort vous vous trompez lourdement. Si vous voulez me tuer, il faudra me battre. Ce n'est pas parce que je ressemble à une faible femme que j'en suis une. Et je pourrai bien vous suprendre.

*Prends ça dans les dents, Zwanouchet !*

Zwan grogna. D'un manière bestiale. il ne voulait pas qu'elle parte et elle n'avait pas l'air d'en avoir envie non plus. Se confronter à la mort ne lui faisait pas peur. Mais quel était donc le pont faible de cette princesse du vent ? Il n'en avait aucune idée, mais pour une fois qu'une de ses proies ne se laissait pas faire, il allait en profiter pour s'amuser un peu.
Avec un sourire éclatant et un regard d'émeraude malicieux, elle ajouta d'une voix plutôt amusée et... charmeuse :

- Mais je dois avouer que l'Ange de la Mort est terriblement séduisant.

L'assassin disparut et reparut derrière Amara. Il la saisit par les hanches et la fit pivoter avant de lui souffler à l'oreille d'une voix mielleuse et sensuelle :

Et que la princesse du vent a un charme sans pareil...

Voyant qu'elle allait surement chercher à se débattre, il disparut de nouveau et se téléporta à quelques mètres d'elle. Il fonça sur elle, lui lança un coup de poing. Il avait prévu qu'elle l'esquive. D'un bond, elle se trouva derrière lui, et un combat s'engagea. Il feignait de se porter des coups, mais en réalité, tout était calculé.
Non loin de là, des musiciens ambulants jouait un musique très entrainante. Amara et Zwan exécutait leurs mouvements en rythme. Finalement, leur combat ressemblait à une danse dangereuse et mortelle.
Quelques passants leur jetèrent des pièces.
L'assassin sourit.
Il ignorait quand est ce que ça allait terminer, jusqu'à ce qu'elle s'élance sur lui. Il ne bougea pas. Elle l'atteignit de plein fouet, lui arrachant par la même occasion un hoquet de surprise. Ils roulèrent à terre et restèrent un moment à se regarder dans les yeux.

Et maintenant ?

Souffla-t-il si près d'Amara qu'il pouvait sentir son haleine fraîche et florale. Il lui décocha un de ses regards accompagné d'un sourire charmeur dont lui seul avait le secret.
La jeune femme avait la domination sur lui : il était sur le dos et elle accroupi sur lui, lui tenant fermement les poignets.
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Amara
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyDim 18 Juil 2010 - 18:40

Je fus surpise lorsqu'il apparut derrière moi, je constatais qu'il savait contrôler la téléportation, il me fit pivoter avant de me sursurrer à l'oreille un compliment qui me fit rougir. Pourquoi me mettai-je toujours dans cet état lorsque l'on me complimenter ? Mais qu'est-ce qui n'allait pas chez moi ? Moi et mon satané penchant pour les mauvais garçons et surtout pour les assassins. Il se téléporta à nouveau à quelque mètre de moi. Il fonça sur moi prêt à me donner un coup de poing, je l'esquivait sans grand mal en faisant une roulade en l'air, un combat commença entre nous, de plus des musiciens itinérants jouaient une mélodie des plus entraînante qui correspondait à la situation. J'avais l'impression qu'il feignait avec mes coups mais je jouai le jeux. Les passants nous jetaient des pièces croyant que c'était un spectacle, ils ne croyaient pas à quel point ils se trompaient mais mieux valaient qu'ils croivent cela. Au fur et mesure qu'on se battait, on s'éloignait de la foule, je m'agenouillai tournant donnant un coup de pieds afin de le faire tomber puis je me mis à cheval sur lui lui maintenant les poignets fermement.

- Et maintenant ?

Et maintenant quoi ? Il s'attendait à ce que je lui tombe littéralement dans les bras ou quoi ? Il a été engagé pour me tuer, mais par qui ? Rien ne me venait à l'esprit pour le moment même si j'avais l'impression que c'était cette homme qui s'était enfuit hier lorsque l'on a éliminé ces compagnons, cela pourrait être lui, c'est fort possible. Mais bon laissons là de côté et revenons à la réalité. Lui faisant croire qu'il avait réussit à me séduire, je m'approchais lentement de ses lèvres comme si j'allais l'embrasser mais je lui dis dans un murmure charmeur.

- Tu t'attendais à quoi à ce que je tombe sur ton charme ? Ne me prend pas pour une femme facile.

J'arrêtai de maintenir ses poignets et je sautai tout en faisant un roulade arrière retombant gracieusement sur mes jambes. Shihara qui voyait que la situation pourrait empirer, tourna autour de moi tel un serpent entourant sa proie. Comme il était mon familier lui aussi avait certains pouvoirs, alors qu'il tournoyait autour de moi, le vent s'éleva jouant avec ma longue chevelure. Rien qu'avec la douce sensation de cette brise sur ma peau, je fermais mes yeux esquissant un sourire. J'enlevais lentement mon écharpe de soie, il était d'une matière très résistante, je pouvais l'utiliser comme un fouet, une autre de mes armes secrète. Je le fit tournoyer l'aggripa sur le bout arrondis de l'un des toit et m'accrocha dessus grimpant comme un écureuil. Je regardai l'Ange de la Mort et oui je l'avais appelé ainsi puis je pris la parole.

- Néanmoins je veux bien jouer à un petit jeu avec toi. Si tu parviens à m'attraper alors j'accepterais de mourir, tu as jusqu'au couché du soleil sinon tu me laisse vivre et tu me dis qui t'a engagé. Alors bon jeu Ange de la Mort.

Je m'en allais sautant de toit en toit en m'aidant de ma magie avec l'adresse d'un chat tout en riant d'un rire cristallin.
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Zwan Ist'Equin
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyDim 18 Juil 2010 - 20:59

Zwan se sentait fier comme un paon. Sa belle avait l'air sous le charme. Elle s'approcha doucement de lui, et il ferma délicatement les yeux, attendant un baiser. Sa voix cristalline lui fit rouvrir les paupières, prouvant qu'elle n'était pas sous le charme :

- Tu t'attendais à quoi à ce que je tombe sur ton charme ? Ne me prend pas pour une femme facile.

Elle sauta d'un bon des plus gracieux avant d'atterrir une nouvelle fois à quelque spas de lui. Il se releva, et s'épousseta, pour cacher sa honte et son humiliation. Cette fille l'avait berné ! Mais il ne pouvait s'empêcher de la regarder...

*T'es sous le charme, vieux! C'est pas bon pour les affaires !*

La ferme !

maugréa-t-il enter ses dents et en silence pour éviter qu'elle ne l'entende. Que penserait-elle de lui si elle apprenait qu'il renfermait un démon en lui ? Bon, il était schizophrène mais l'ignorait. Et le premier qui lui ferait voir la vérité en face.. et ben, il mourrait.
tandis qu'il se battait contre lui même -enfin, contre lui et son second lui- la chouette -le hibou- d'Amara faisait furieusement battre ses ailes autour de sa maitresse, comme pour la protéger de Zwan. Comme s'il résisterait s'il attaquait. N'importe quoi.
L'assassin regarda les courbes de la jeune femme se dessiner dans la lueur du soleil d'après midi et songea littéralement qu'elle était.. belle.. Et encore, ce mot était trop faible pour la définir réellement comme il la voyait. Ses cheveux volant au vent ne faisait qu'accentuer le désir qu'il éprouvait pour elle. Il la voulait. Juste elle. Juste ses lèvres, rien qu'un instant.
Comment avait-il pu se faire prendre à son propre jeu ? Quel imbécile...
Sa belle voix velouté l'interrompit de ses pensées.

- Néanmoins je veux bien jouer à un petit jeu avec toi. Si tu parviens à m'attraper alors j'accepterais de mourir, tu as jusqu'au couché du soleil sinon tu me laisse vivre et tu me dis qui t'a engagé. Alors bon jeu Ange de la Mort.

Sans attendre de réponse de la part de son interlocuteur, elle sauta à une hauteur phénoménale -surement grâce à ses pouvoirs- et atteignit le toit. Son rire de cristal résonnait jusque dans le ciel. Elle n'était vraiment pas consciente de l'effet qu'elle lui faisait.
Alors il se mit à la suivre. Sans savoir ni pouruqoi ni comment il en était arriver à ce opint là. Au fond de lui, il avait peur. Elle représentait la nouveauté, l'aventure. Il aimait la venture e tle courage, mais pas le nouveau. Ni...

*Ni l'amour ! Je te connais.*

Mais... TAIS-TOI !!

Il jura de nouveau et courut. Il se téléportait quand il était sur de ne pouvoir franchir un obstacle. Quelques fois, il apparaissait à ses côtés, tendait lentement la main, mais il ne la fermait que sur du vent.
Il le faisait exprès.
Elle le savait.
Ils connaissaient tous les deux l'issue de ce jeu. Mais pour l'amusement, il faisait quand même durer le suspens en effleurant sa tenue de danseuse de temps à autres. Il n'avait qu'une seule parole. Ça avait toujours été comme ça, c'était encore comme ça et ça serait toujours ainsi. Il avait donné sa parole en promettant de tuer cette fille. Mais il y a des embuches en cours de routes et s'il manquerait sa paroles, ce serait simplement parce qu'il avait perdu au jeu du chat et de la souris... Même s'il le faisait exprès.
Sa conscience d'assassin ne serait pas souillé et sa conscience de gentleman et d'humain non plus. Tout allait pour le mieux.

Le reste de l'après midi se passa comme le début. Le chat manquant la souris de peu. La souris narguant le chat. Et ainsi de suite. Ils ne se lassaient pas de se jeu idiot.
Enfin, les derniers rayons de soleil disparurent dans la mer, pour aller vers l'inconnu. Avec un grand soulagement, il se téléporta aux côtés d'Amara.
Ils s'assirent en silence sur un toit, à regarder la dernière agitation dans la rue. Il s'appuya contre une cheminée et caressa du bout des doigts la main d'Amara. Si elle s'en rendit compte, elle ne broncha pas. Alors, il prit sa main et déposa un tendre baiser dessus.

J'ai passé une journée on ne peut plus agréable, avec toi.

Peut-être que la gentillesse et la finesse la séduirait plus que la brutalité...
Il laissa Amara "récupérer" sa main et il mit la sienne par dessus. Ils se faisaient face, se regardaient à présent droit dans les yeux. Il approcha son visage du sien et murmura :

Que veux-tu savoir ?
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Amara
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyDim 18 Juil 2010 - 21:20

Je n'étais pas si stupide, je savais très bien qu'il manquait esprès pour faire durer le jeu mais je commençait à me poser des questions quand le soleil se coucha derrière l'horizon. Pourquoi ne m'a-t-il pas attrapé avant que le soleil ne disparaisse pour finir son contrat et continuer sa vie ? Cet assassin était vraiment étrange, néanmoins je ne me plaignais pas, je vivais toujours, maintenant je regardais ce magnifique couché de soleil, aux couleurs orangés, j'ai toujours aimé regardé cet instant de la journée rien de plus merveilleux pour emplir une âme solitaire et riste d'une peu de bonheur et de sérénité. En tout cas, c'est comme ça que je me sentais quand j'en voyais un.

De ses doigts il caressa ma main, je ne dis rien faisant semblant de ne pas avoir remarqué puis il prit ma main pour y déposer un baiser, je rougis à ce geste auquel je ne m'attendais absolument pas. Je récupérai ma main et tourna ma tête un instant pour récupérer mon souffle tout allait un peu trop vite pour moi. Je me demandais pourquoi j'attirer autant les hommes aux métier pas très net. Lorsque je tournais à nouveau ma tête son visage était près du mien, je sentais son souffle sur ma peau, il pensait m'avoir avec son côté délicat peut-être que oui mais je devais résister et me murmurra.

- Que veux-tu savoir ?

- Je veux que tu me dise qui t'a engagé ? Même si j'ai une petite idée.

Avant qu'il ne me réponde je me levais montant sur la petite marche du toit en dansant afin de me calmer un peu, la proximité de cet homme me rendait nerveuse et je ne voulais pas qu'il voit mes joues rouges et enflammé. Je fredonnai une chanson que ma mère me chantait autrefois c'était la seule qui pouvais calmer les battements de mon coeur qui en ce moment cognait aussi fort qu'un tambour. Ce qui était bien avec le couché de soleil c'est que lorsqu'on dansais et qu'on tendait les mains l'astre de feu, on avait l'impression qu'on pouvait prendre une partit de sa robe doré. Ayant reprit mes esprits, je lui fis face, le regard sérieux et légèrement en colère même si cela ne m'allait pas, il me rendait plus enfantin que jamais et lui dit.

- Alors qu'elle est la personne sans cervelle qui t'a engagé, j'aimerai lui rendre la politesse dis-je en faisant une révérence moqueuse.
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Zwan Ist'Equin
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyDim 18 Juil 2010 - 21:49

- Je veux que tu me dise qui t'a engagé ? Même si j'ai une petite idée.

Apparemment, les avances de Zwan n'avait fait aucun effet à Amara. Le cœur de l'assassin était gros et sa gorge nouée à la simple idée qu'elle le repoussait et le repousserait toujours. Pourquoi, pourquoi ? Il ne voulait pas souffrir...
Alors qu'elle se relevait, il croisa les bras et remonta ses genoux, comme pour avoir l'air nonchalant. Mais en vérité, il voulait cacherses tremblements intempestives. La chose qu'il avait toujours redouté lui tombait dessus. L'amour. Il frappa sa tête contre ses genoux en se répétant à toute allure :

Je ne l'aime pas, je ne l'aime pas... juste un flirt. Un flirt, rien de plus. Je ne l'aime pas. Un flirt.. Oui un flirt, je ne l'aime pas.

Et bizarrement, plus il se le répétait, plus son cœur se serrait. Il ne mettait aucune sincérité dans la voix. Et pour cause ! C'est dur de se mentir à soi même. Surtout pour un homme qui se voit comme un dieu...

*Tu l'aimes, tu l'aimes, tu l'aimes...*

Répétait la voix en lui. Il avait envie de se jeter du haut du toit pour ne plus avoir à la supporter.
Elle était à quelques pas de lui et semblait fredonnait une chanson. Pas n'importe laquelle. Une berceuse douce et agréable à écouter. Elle l'était d'autant lus lorsque c'était la fille du vent qui la chantait.
Enfin, elle lui fit face, une nouvelle fois.

- Alors qu'elle est la personne sans cervelle qui t'a engagé, j'aimerai lui rendre la politesse.

Elle ponctua ses dernières paroles par une révérence caricaturale et moqueuse. Il sourit.
Il tapota l'espace vide devant lui, lui faisant signe de s'assoir. Elle mit les poings sur les hanches avant de s'exécuter.
Sur le ton de la confidence, il lui intima en chuchotant, comme si la légère brise pouvait transporter ses mots et les souffler dans l'oreille du premier venu :

Un homme. Amara, ne le répète pas. Je sais combien tu te fous de ma vie. Mais j'y tiens.

Il lui fit un clin d'œil, pour lui montrer qu'il plaisantait. Mais pas entièrement. Il y a toujours une part de vérité dans l'ironie, comme on dit.
Il reprit :

Toi et une de tes amies, une elfe qui s'appellerait Endërya je crois, que je suis censé tuer mais je ne le ferais pas si tel est ton désir, vous avez tué ses hommes. Monsieur n'est pas contente et m'a engagé pour se venger. Sauf qu'il aurait du en engager un autre. Parce que je ne me résignerai surement pas à te tuer !

Il sourit, puis se mit à rire.

*Dragueur amoureux. C'est niais. A vomir.*

Zwan dut se mordre la lèvre jusqu'au sang pour ne pas se lever et hurler un "Ta Gueule !" Au monde entier. Au lieu de ça, il se frappa la tête contre la cheminée. Si fort qu'il sentit un peu de liquide chaud couler. Mais il s'en fichait, du moment qu'il avait réussi à faire taire cette horrible voix.
A voir la tête que tirait la jeune femme, elle le prenait pour un fou. C'était sur.
Pour Zwan, le monde s'écroulait. A cause d'un stupide démon. Il se retint pour ne pas pleurer.
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyDim 18 Juil 2010 - 22:23

Il devait tuer Endërya et elle, là je sais qui c'est, celui-là, il paiera rien pour attendre. Je vais le tuer comme j'aurai dû le faire hier. Comment ose-t-il engager un assassin pour la tuer elle et son amie. Je vis rouge, la colère me monta en un rien de temps. Assis à côté de lui, je le regardai, il agissait étrangement puis il se tapa la tête contre la cheminée. Mais il est fout ? Le point positif c'est qu'il ne me tuera pas mais pourquoi normalement il doit respecter son contrat mais bon je vais pas m'en plaindre. Je vis un liquide rouge couler sur sa tête, il s'était cogné tellement fort qu'il s'en ai blessé.

- Mais tu saigne !

Je sortis un mouchoir blanc de ma poche et lui posa sur sa blessure, je fis doucement afin de ne pas lui faire plus mal, j'étais peut-être taquine avec lui mais j'allais sûrement pas le laisser blessé sans rien faire, je m'approchai pour mieux regarder sa blessure, heureusement ce n'était pas trs grave, je souris soulagé.

- Ca va ce n'est pas grave, il faut juste la nettoyer et le sang arrêtera de couler.

Je pris sa main pour qu'il tienne le mouchoir contre sa blessure, je lui souris en même temps heureuse qu'il ait respecté son gage de me dire qui l'avait engagé.

- Cet homme, j'aurai dû le tuer quand j'en avais l'occasion. Je ne suis pas méchante mais sauf qu'il m'a attaqué alors que je mangeais tranquillement avec mon amie. Parce que j'avais attaquée et tuée ces amis, bien sûr j'avais une bonne raison, ils voulais s'en prendre à moi physiquement enfin si tu vois ce que je veux dire.

En disant ces derniers mots, je croisais mes bras sur mes épaules, rien qu'en pensant à ce qu'il voulait me faire, ça a faillit m'arriver tellement de fois, je n'en étais pas encore habitué, le coeur des hommes sont bien plus sombres qu'on pourrait le croire mais je gardais toujours un espoir sur le fait qu'il y ait une bonne raison pour qu'il fasse cela.

- Je n'aime pas tuer des gens même si c'est pour me défendre mais mon père me disait que l'une des règles qui est la plus dur à respecter c'est de tuer ou d'être tué même si c'est pour se défendre.

Une petite larme coula sur ma joue, car à cet instant, je me rappelai cette horrible soirée où mes parents se sont fait tuer, j'en faisais des cauchemars toutes les nuits car cet homme était toujours en vie quelque part à faire du mal à d'autre famille.

- Heureusement que mon père m'a apprit le lancé de couteau sinon je ne serait pas en vie aujourd'hui. Je veux vivre ma vie à fond comme mes parents, libre à voyager où bon me semble, à danser et chanter. Rien que pour donner de la joie et de la sérénité aux gens même si c'est pour un cour instant.

Je me mis à genoux face à lui afin de constater l'état de sa blessure ma poitrine face à son visage, je ne le faisais pas exprès mais fallait bien que voille si ça blessure à arrêté de saigner.

- Laisse-moi voir. Ca c'est arrêté, t'as de la chance. Mais si tu veux un bon conseil, arrête de te cogner la tête contre les murs dis-je en lui faisant un clin d'oeil amusé.

Puis je m'abaissai et lui fit un bisou sur la joue.

- C'est pour te remercier de m'avoir laissé en vie. La prochaine fois qu'on se verra dis-moi ton nom.

Je me relevais et d'un geste théätrale, je lui fis une révérence en déclarant.

- Bien sur ceux, je m'en vais. Au revoir Ange de la Mort.

Je m'apprêtais à partir lorsqu'il me retint.
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Zwan Ist'Equin
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyLun 19 Juil 2010 - 12:18

La colère la rend encore plus belle, pensait Zwan. Et il n'avait pas tout à fait tort. après, tout dépendait du point de vue de chacun. Et l'assassin avait tendance à trouver la plupart des femmes "sexy", "mignonne", "belle", ou je ne sais quoi encore.
Avec un cri horrifié de surprise -dont seules les filles ont le secret- Amara s'aperçut que du sang coulait de la tête de Zwan. Quoi, elle n'avait jamais vu de sang ? Le jeune homme sourit à cette pensée. D'autant plus que grâce à sa blessure causée par cette minable et horrible voix dans sa tête, la fille du vent s'approcha de lui et pansa doucement sa blessure. En même temps, elle souriait, surement satisfaite de la réponse de l'assassin. Il tenait toujours sa parole, même si ce n'était pas sa première parole. Elle déclara même ses regrets de ne pas avoir neutralisé -ou tué..- le client du tueur. Elle eut même un frisson horrifié lorsqu'elle pensa à ce que ces hommes aurait fait si elle ne s'était pas défendue. Abuser d'elle... La colère s'empara de notre bel homme qui n'eut qu'une envie à cet instant : tuer son propre client. C'était dingue de reconnaitre à quel point on pouvait détester des gens juste par jalousie !
Puis la danseuse évoqua un peu son passé, remerciant au passage son père de lui avoir enseigné le lancer de couteau. Apparemment, elle n'avait pas eu un passé facile, et ses parents étaient décédés. Ce qui leur faisait un autre point commun, en plus de leur caractère téméraire et dragueur. Ils étaient faits pour s'entendre !
Elle inspecta une nouvelle fois sa blessure. Il respira son odeur florale et elle était si proche de lui que s'il avançait la tête, il pourrai la toucher du bout du nez. Elle déclara que le sang s'était arrêté de couler et s'éloigna de lui, pour ensuite revenir et déposer un léger baiser sur ses joues.
Qu'entendait-elle par là ? En tout cas, Zwan avait l'impression que son cœur et sa tête allaient exploser. Il avait terriblement envie que le contact de sa lèvre sur sa joue dure une éternité. Surtout si elle n'avait que ça à lui donner...

- C'est pour te remercier de m'avoir laissé en vie. La prochaine fois qu'on se verra dis-moi ton nom.

Elle se releva avec grâce -dans la description des faits et gestes d'Amara, les adjectifs "grâce" et "élégance" revenaient toujours...- et fis une révérence des plus élégante qu'est ce que je disais !- avant de déclarer :

- Bien sur ceux, je m'en vais. Au revoir Ange de la Mort.

Il se releva d'un bond comme s'il on venait de lui verser une eau glacée sur la tête. Il frissonna et lui agrippa le bras dans un geste quasi désespéré. Il ne voulait pas qu'elle parte. Elle haussa un sourcil, l'air de dire -"Quoi ?"-. Il fallait d'urgence qu'il trouve une excuse pour qu'elle reste avec lui. D'un geste maladroit qui se voulait assuré, il passa ses mains autour de sa taille, et la rapprocha de lui.

Pourquoi attendre pour se connaitre ? Amara, je sais qui tu es. Je m'appelle Zwan Ist'Equin, assassin réputé sous le nom de "rafale fatale". Mais je ne te tuerai pas, je te le promets.

A présent leurs tête n'étaient qu'à quelques centimètres l'une de l'autre. Il pouvait sentir son souffle chaud. Il continua :

S'il te croise, tu es morte. Je le suis aussi. A toi de voir si tu préfère rester avec moi ou aller risquer ta vie ailleurs. Mais je t'en prie... Reste...

Il n'osait as aller plus loin. Ses mains restaient sur la taille de la demoiselle en un geste protecteur, et leurs regards se croisaient. La sensation du corps d'Amara près du sien était une position très confortable selon lui, et il ne voulait en aucun cas gâcher ce précieux moment en tentant quelque chose qu'elle lui refuserait. Cependant, il se risqua quand même à se pencher un peu plus encore vers Amara, sans l'embrasser pour autant, même s'il en mourrait d'envie.
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyLun 19 Juil 2010 - 13:00

Il me maintenait le bras d'un geste désespéré, je su à cet instant qu'il ne voulait pas que je m'en aille, je vis dans ses yeux une lueur de tristesse enfin je cru la voir, je ne pouvais pas en être certaine. Passant ses mains autour de ma taille un peu maladroitement, je le regardais droit dans les yeux, je trouvais son attitude vraiment touchante même s'il voulait se montrer maître de lui-même.

- Pourquoi attendre pour se connaitre ? Amara, je sais qui tu es. Je m'appelle Zwan Ist'Equin, assassin réputé sous le nom de "rafale fatale". Mais je ne te tuerai pas, je te le promets.

Zwan Ist'Esquin bizarrement je trouvais que ce nom sonnait bien mais son pseudo d'assassin jamais elle en avait encore entendu parler pourtant Amara voyait des gens de tout style de vie, de nobles, de paysans, d'artiste et parmi d'assassins qui se vantaient une fois qu'ils avaient un peu trop bu. Elle regarda Zwan dans les yeux et lui fit un sourire charmeur. Le visage de son vis à vis était si près du sien qu'elle sentait son souffle sur sa peau.

- Si tu ne veux pas que je te quitte dis le clairement. Néanmoins je trouve ta gêne vraiment adorable.

Pourquoi pas ne le gêner encore plus, je le trouve tellement adorable lorsqu'il est maladroit et gêné, avec une douceur bien à moi, j'écartai ses mains de ma taille et alla m'assoir au même endroit qu'avant et lui fit signe de me rejoindre. Je crois que de cette manière j'ai répondu à ce qu'il attendait de moi, je n'avais pas envie de croiser la route de cet homme ce soir et la compagnie de Zwan m'était agréable. Shihara se posa quelque instant sur mon épaule, caressant sa petite tête sur ma joue comme il avait l'habitude de le faire avant d'aller chasser des souris pour son dîner puis il s'envola gracieusement vers l'horizon en hululent. Un petit vent frai s'éleva me faisant frissonner, le jour il faisait peut-être horriblement chaud mais la nuit ça se rafraîchissait rapidement.

- Très bien mais es-tu sûr de me connaître comme tu le prétend ?
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyLun 19 Juil 2010 - 13:23

Elle le regarda droit dans les yeux. ce qu'elle pensait à cet instant restait un grand mystère. Il est beau ? Gentil ? Horriblement chiant et collant ? Toutes ces pensées s'agitaient dans l'esprit de Zwan, qui ne savait pas vraiment comme réagir face au sourire charmeur qu'elle lui lançait. Il crut défaillir.

- Si tu ne veux pas que je te quitte dis le clairement. Néanmoins je trouve ta gêne vraiment adorable.

Il se sentit rougir, comme un gamin quand la maitresse lui ébouriffe les cheveux en le félicitant de son travail. Si seulement ils pouvaient être gamins ! Tout serait beaucoup plus simple. Il lui prendrait la main, lui dirait un "je t'aime" et lui collerait un baiser baveux et maladroit sur les lèvres. Vraiment dégoutant mais tellement plus facile et mignon... Contrairement à quand il était petit, Zwan ne tombait pas sous le charme d'Amara juste à cause de sa beauté. Tout en elle lui plaisait énormément, et il voulait qu'elle éprouve la même chose pour lui.

*Elle te drague, rien d'autre, pauvre amoureux écervelé !*

Hurlait la voix. Malgré lui, l'assassin ne pouvait s'empêcher de croire un peu aux sottises que lui criait le démon. Ses peurs se confirmèrent lorsqu'elle s'écarta doucement de lui. Il voulut la retenir et la plaquer conte lui à jamais mais ne le fit pas, de peur de l'effrayer. Alors que tout semblait perdu, elle lui fit signe de s'assoir à ses côtés. Tellement il était plongé dans ses pensées, il n'avait même pas remarqué qu'elle était parti s'assoir plus loin. Un vrai coup de vent, cette fille.
La chouette vint se poser sur l'épaule de sa maitresse et après quelques tendres caresses, s'éloigna pour partir à la chasse. Il fallait qu'il pense à avoir un animal, un de ces jours. Cela pouvait s'avérer étonnamment pratique, dans le fond.
Le vent se leva et la fraicheur de la nuit remplaça la chaleur cuisante du jour. a jeune femme frissonna et à partir de ce moment, Zwan sut ce qu'il avait à faire.

- Très bien mais es-tu sûr de me connaître comme tu le prétend ?

Il sourit face à cette question intrigante. Sans qu'elle ne puisse réagir, il lui saisit la main et les téléportèrent. Ils reparurent dans un champ de fleurs. L'herbe n'était pas très haute, et la chaleur de la terre était très apaisante. De plus, l'endroit était dégagé, leur permettant ainsi de pouvoir observer les astres sans aucune gêne.
il s'allongea et la fit doucement basculer à ses côtés.

Tu connais une chose de plus sur moi. Ce que je sais de toi, c'est que tu es une jeune femme affreusement séduisante, courageuse et des plus téméraires que j'ai jamais vu. Les filles comme toi se font rares, tu sais.

Il rit un peu, comme pour apaiser la tension et les battements affolés de son cœur. Il reprit en enlevant sa veste.

Il fait froid. Je ne veux pas que tu dormes dans d'horribles conditions par ma fautes.

Il déposa sa veste sur les épaules de la jeune femme et passa son bras sous sa nuque pour lui servir d'oreiller. Il posa son avant bras à terre et la regarda un moment. Il lui caressa tendrement la joue et laissa tomber mollement sa main. Sans pouvoir prévoir sa réaction, il lui était impossible de l'approcher encore plus...
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyLun 19 Juil 2010 - 13:50

Snas que je m'y attende, il prit ma main et nous téléporta dans un champ de fleur magnifique, le parfum était doux et sucré, les couleur était vraiment magnifique sous ce couché de soleil, mon regard pétillait comme ceux d'un enfant face à un cadeau. C'est pour cela que j'aimais la liberté, je pouvais voir ce genre de spectacle quand je le désirais et avec quelqu'un quand je le voulais. Je fus contente que cela soit avec Zwan, malgrès sa profession, c'était un homme galant, gentille et romantique, ça je l'ai constaté au moment même où il m'ammena ici. Si je continuai à vouloir rester ainsi à ses côté, je crois que je vais craquer pour lui et c'était certain. Mais qui aurait crut que la danseuse serait attiré par l'assassin, cette personne qui normalement aurait déjà dû la tuer depuis un moment déjà mais il m'a fait comprendre qu'il ne le pouvait pas.

- Tu connais une chose de plus sur moi. Ce que je sais de toi, c'est que tu es une jeune femme affreusement séduisante, courageuse et des plus téméraires que j'ai jamais vu. Les filles comme toi se font rares, tu sais.

- Oui je sais, on n'en fait plus des commes moi dis-je en le taquinant.

Lorsqu'il déposa sa veste sur mes épaule déjà fraîche à cause de la brise, je rougis légèrement chacun de ses mouvements étaient délicats, mon coeur commençait à s'emballer de plus en plus, j'essayai de le calmer mais en vain. Pourquoi je me sentais ainsi maintenant ? Alors qu'avant je le taquinais et le gênais plus qu'autre chose ?

- Il fait froid. Je ne veux pas que tu dormes dans d'horribles conditions par ma fautes.

Oh non ! Ne me dit pas ce genre de phrase, ça risquerait de me rendre encore plus folle que je ne le suis déjà ! Lentement je m'allongeais près de lui posant ma tête sur son bras qu'il m'avait gentiment proposé comme coussin, je restais malgré cela maîtresse de moi-même essayant tant bien que mal de dissimuler ma gêne qui se faisait ressentir de plus en plus. Pour me calmer, je regardai le ciel qui maintenant était emplit d'étoiles et la lune se montrait montrant sa robe d'argent, se pavanant pour séduire toutes ces étoiles qui l'accompagnaient. Je senti la main chaude et réconfortante de la main de Zwan sur ma joue, je tournais ma tête vers lui et plongea mon regard émeraude dans ceux vert avec une touche de reflet vilet de Zwan. J'espérai seulement qu'il ne voyais pas les rougeurs que j'avais en ce moment sur mes joues qui devenait par la même occasion aussi brûlant que le feu.

- Je .... dis-je.

Mais je ne pus finir ma phrase.

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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyLun 19 Juil 2010 - 14:11

Amara tourna la tête vers Zwan et plongea son regard émeraude dans le sien. Il ne put s'empêcher d'observer que les joues de la jeune femme prenaient une teinte rosée. Elle était encore plus mignonne ainsi, elle ressemblait davantage à une petite poupée de porcelaine.
Il se pencha encore un peu vers elle, ne pouvant plus se retenir. Il fallait qu'il se lance, qu'il lui prouve son amour.

- Je ....

Mais l'assassin fut plus rapide qu'elle. D'un geste tout à fait tendre, il déposa ses lèvres sur celle de la danseuse. Il redevenait gamin, tout à coup. Sauf que ce baiser était loin d'être baveux et dégoutant, mais plutôt infiniment tendre et savoureux. A son grand soulagement, elle ne le repoussa pas. Il passa sa main sur la joue de la danseuse, sans pour autant se décoller d'elle. Ses lèvres étaient douces et sucrées et ne l'encourageait vraiment pas à lâcher prise. D'ailleurs, il ne voulait pas. Il oubliait sa gêne et ses gestes maladroits. Lentement, ils se relevèrent, pour être assis.
Cet instant de bonheur n'avait duré que quelques secondes et pourtant Zwan était convaincu qu'il avait duré une éternité, tellement il avait apprécié. Avec un pincement au coeur, il se détacha d'elle. Il n'ouvrit pas immédiatement les yeux. Là où les lèvres d'Amara s'étaient posés, il ressentait nue douce brulure agréable. Son désir se fit plus soudain. Il en redemandait, encore et encore.
Puis, il ouvrit ses paupières closes et s'aperçut qu'il tremblait. Il tremblait de son amour, de sa passion tels des immenses incendies qui le consumaient de l'intérieur. Il était sur que, tôt ou tard, il en souffrirait. Cette éventualité s'imposait petit à petit à lui, sans qu'il puisse le contrôler.
Il croisa son regard et fut soudain aussi gêné qu'un adolescent pris en flagrant délit par ses parents. C'était frustrant mais terriblement excitant. L'adrénaline qu'il ressentait était loin de retomber. Et c'était tant mieux.

Je suis désolé, Amara. Terriblement confus. Mais il faut que je te dise quelque chose.

*Et ben enfin, pauv' type !*

Mais il ne l'écoutait plus depuis un moment. Tout ce qui comptait, c'était elle. Elle. Lui. Eux. Il posa une main sur la taille d'Amara tandis que l'autre caressait ses cheveux doux. Il aurait voulu rester là. Rien que le regard qu'elle posait sur lui lui suffisait. Il l'aimait. Peut-être pas encore.. du moins, pas vraiment, mais il savait que ça viendrait. Et plus vite qu'il le voulait.
Il savait qu'un jour il devrait affronter sa peur. Cette dernière ne disparaitrait qu'une fois qu'il aurait franchi le pas. Alors il se jeta à l'eau, toujours aussi maladroit, mais il s'en fichait, parès tout, la jeune femme semblait craquer pour ça, alors ce n'était pas important.

Je sais que ça peut te sembler soudain mais je crois que... que tu me fais de l'effet. Plus que je ne croyais, en fait. Ce que je ressens pour toi c'est.. c'est fort... C'est tout nouveau, je ne sais pas quoi faire, ne m'en veux pas si je te blesse par inadvertance.

Et il baissa la tête, incapable d'affronter son regard.
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyLun 19 Juil 2010 - 14:41

Zwan m'empêcha de parler avec un baiser, ses lèvres étaient douces et chaudes, une douce sensation s'empara de moi mais je ne pouvais plus bouger, je ne refusais pas ce baiser qu'il m'offrait en faite je crois que j'ai toujours voulus gouter à ses lèvres malgré ce que je faisais mais je me le cachais à moi-même mais maintenant qu'il les avaient capturer, je me laissai aller, l'une de mains se plongea dans mes cheveux, une sorte d'onde électrique me parcourut toute entière. Tout comme ses paroles, ces geste étaient doux pourtant son baiser avait l'air si désespéré, je crois qu'il a peur que je le repousse. Peut-être qu'auparavant cela aurait pu être le cas mais maintenant, je me rends compte que j'avais besoin de cela, d'amour et de tendresse, que je me suis refusais jusqu'à aujourd'hui.

Il s'écarta de moi, je lui en voulus car ses lèvres m'ont procuré beaucoup de joie et de bien être tout comme avec la danse. Il avait les yeux clos, il n'osait pas croiser mon regard mais moi, je ne cessai de le regarder attendant qu'il fasse un geste ou qu'il dise quelque chose.

- Je suis désolé, Amara. Terriblement confus. Mais il faut que je te dise quelque chose.

Désolé ? Mais de quoi ? Me dire quelque chose ? Tous ces mots résonnaient comme un échos sans fin dans ma tête, je n'esquissais aucun mouvement attendant qu'il me dise la raison de ces paroles. Il me semblait aussi confus que moi je l'étais, cette attitude le rendait tellement touchant, il semblait être un enfant qui a fait une bêtise. Adorable, c'es tce que je pensais.

Je remarquai qu'il cherchait ces mots une fois qu'il eut le courage de me regarder, une main se perdit sur ma taille et l'autre dans mes cheveux, instinctivement je fermais mes yeux pour goûter à ces caresses. Qui me faisait encore plus frémir qu'avant.

- Je sais que ça peut te sembler soudain mais je crois que... que tu me fais de l'effet. Plus que je ne croyais, en fait. Ce que je ressens pour toi c'est.. c'est fort... C'est tout nouveau, je ne sais pas quoi faire, ne m'en veux pas si je te blesse par inadvertance.

Comment pourrais-tu me blesser avec une déclaration comme celle-ci, au contraire elle me fais plaisir, c'est c que j'aurai aimé lui dire mais ma voix n'arrivait à franchir la frontière de mes lèvres. Je crus percevoir des rougeurs sur ces joues, je fus ému qu'il soit dans le même état que moi. Au lieu de dire des mots que je devrais prouver après, de ma main, je lui caressais le visage, le relevant peu à peu afin que nos regards soit à la même hauteur puis je m'approchai lentement et l'embrassa à mon tour délicatement. Un doux baiser qu'une jeune fille ne pouvait que donner à l'homme qui ne la laissait aucunement indifférente. Puis je m'écartai à regret de lui pour lui dire.

- Cela répond-t-il à ta question ? Est-ce que ça calme tes peurs ? dis-je en lui faisant un sourire sincère.
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyLun 19 Juil 2010 - 15:19

Ses lèvres tremblotèrent un instant. Amara avait l'air plutôt surprise et en même temps très touchée par la déclaration de Zwan. Ce dernier fut ravi de l'effet qu'il avait fait à la jeune femme. Si elle était émue par ce qu'il venait de rire, cela signifiait surement qu'elle ne s'en fichait pas totalement de lui. D'ailleurs, le baiser qu'elle n'avait pas refusé lui confirmait bien sa théorie. C'était clair et net : plus il passait du temps en sa compagnie et plus il fondait pour cette incroyable princesse de porcelaine. Il avait l'impression d'être dans un rêve. Rencontrer une jeune femme aussi belle qu'Amara, tomber amoureux du premier coup d'œil -ce qu'on appelle plus communément le "coup de foudre"- et pouvoir l'embrasser dans les quelques heures suivantes sans se faire repousser relevait presque du miracle pour l'assassin. Il était aux anges.
Pour toute réponse, elle s'approcha de lui et déposa une nouvelle fois ses lèvres contres les siennes, à la recherche d'un baiser sucré.

- Cela répond-t-il à ta question ? Est-ce que ça calme tes peurs ?

Il sourit, lui embrassa le front et l'embrassa passionnément. Il voulait par ce baiser lui prouver tout l'amour qu'il avait pour elle. Le stade du petit bisou était totalement dépassé. A présent, il s'emparait de ses lèvres comme s'il avait peur qu'elle s'en aille. Durant cette étreinte passionnée, ils basculèrent vers l'arrière. Étrangement, Zwan n'avait pas plus envie que ça d'aller plus loin. Son corps sur celui d'Amara, ses bras à ses côtés tandis qu'elle lui plaquait la nuque lui suffisait amplement. Il n'avait pas besoin de plus. Ils roulèrent sur le côté en riant entre deux baisers.

Amara, je crois que je t'aime.

Et il se laissa tomber à ses côtés, heureux. Il avait prononcé ces mots avec une assurance sans pareille maintenant qu'il était presque sur que ses sentiments étaient réciproques. Il lui caressa tendrement la joue, déposa quelques bisous dans le cou de son amante avant de s'affaler sur le sol. Il enroula une de ses jambes autour de celles d'Amara. Ils restèrent un moment ainsi, collés l'un contre l'autre, échangeant quelques baisers.
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyLun 19 Juil 2010 - 16:10

Il m'offrit un autre baiser bien plus passionné et sauvage qu'avant, je me laissai coucher sur l'herbe par son poids profitant ainsi de lui caresser la nuque avec délicatesse mais en me montrant légèrement sauvage. Des étoiles apparaissaient dans mes yeux, je me sentais bien dans ses bras, en sécurité et aussi importante pour lui, je ressentais à travers ses milles baisers et ses étreintes plus passionné l'une que l'autre. J'aurai aimé que cela dure toujours. On ne put s'empêcher de rires entre deux baisers avouant à l'autre le bonheur que l'on ressentait mutuellement, j'étais heureuse dans bras.

- Amara, je crois que je t'aime.

Des mots si doux que j'avais entendu à maintes reprises par des hommes qui ne voulaient qu'une seul chose pourtant venant de lui, il me semblait sincère, il n'y avait aucun mensonge. On resta un moment dans les bras l'un de l'autre, Zwan entoura mes jambes avec l'une des siennes continuant à s'embrasser. Puis je m'endormis au creux de son cou sentant son parfum si particulièrement épicée qui me rendait folle.

Je m'endormis l'esprit en paix, croyant que rien ne pouvait pertuber mon sommeil aux bras de Zwan pourtant cette nuit revint dans mes songes comme chaque nuits depuis l'âge de 13 ans. Mon père roulaient tranquillement la charette pendant que je dormais dans les bras de ma mère qui chantonnait cette berceuse que j'aimais tant puis soudain des cris de fureur, des rires sadiques. Les cris de mes parents me demandant de m'enfuir et de ne surtout pas me retourner mais j'étais si paralysée que j'assistai à leurs assassinas, mon père se battant comme un lion mais on lui perça l'abdomen à coup d'épée, il tomba la tête tournai vers moi me souriant pour me rassurer mais moi je pleurai puis ma mère, on lui déchirait ses vêtements profitant de sa faiblesse, la torturant et la tuant une fois qu'ils en avaient finit avec elle. Prenant conscience du dernier cris de ma mère, les jambes tremblante, je me relevais alors que l'un d'eux s'approchait, il aggripa mon bras, caressant mon visage de ses mains sale du sang de mes parents, je me débattais sous les rires de ces hommes puis je pris ma pince à cheveux et le planta dans la cuisse de cet homme. Je courrai aussi vite que je le pouvais m'éloignant de cette vue d'horreur.
Puis après avoir revécu encore ce souvenir douloureux, tout était noir autour de moi, soudain je vis mes parents apparaître devant moi m'ouvrant leurs bras et souriant, je courai vers eux mais plus je m'approchai et plus ils s'éloignaient de moi. Je tombais à genoux pleurant comme jamais.

- Papa....Maman....

Soudain je sentis quelque chose de chaud et de réconfortant et des paroles que je n'arrivai pas à comprendre pourtant au fond de moi, je savais que c'était des mots rassurants. Instinctivement, je resserrai mon étreinte sur Zwan.
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyLun 19 Juil 2010 - 16:43

Elle semblait bien installée, la tête dans le creux du cou de Zwan. ce dernier avait son menton sur la tête d'Amara. Ainsi, il pouvait sentir la bonne odeur fraîche de sa magnifique chevelure. De loin, on aurait dit des cadavres. On pouvait croire que l'un essayant de protéger la prunelle de ses yeux l'avait serrée contre lui mais quelques assassins rôdeurs seraient passé et les auraient achevés. Histoire macabre, bien loin de la vérité des feux de joie et d'amour. Ils s'endormirent collés serrés, se réchauffant mutuellement par le contact du corps de l'autre sur sa peau.

Un geignement imperceptible sortit Zwan de son sommeil. Dans ses bras, Amara sanglotait et était secouée de spasmes irréguliers. Inquiet, le jeune homme confectionna un oreiller avec sa veste et s'assit à côté d'elle. Il prit même sa main dans la sienne. Quelques longus minutes passèrent. Le silence était brisé par les pleurnichements inquiétants de la jeune danseuse. Quelques larmes coulèrent sur ses joues.
Soudain, elle ouvrit les yeux, le regard voilé et sanglota :

- Papa....Maman....

Zwan se sentit horriblement inutile. Il n'avait pas voulu la réveiller, prétextant qu'une combat contre soi même ne devait ête interrompu; Mais à voir dans quel état était la jeune femme, il s'en voulait énormément. Il lui caressa doucement la main et se laissa tomber à ses côtés. Il lui souffla quelques mots à l'oreille, tout en lui caressant nerveusement les cheveux :

Chut... Ça va aller, Amara, ça va aller... Je suis là, tu n'as plus à avoir peur, je suis là...

Il la prit dans ses bras et l'enlaça amoureusement en la berçant. Au bout d'un moment ses sanglots s'apaisèrent et ses épaules s'arrêtèrent de trembler. Il était assis en tailleur et installa Amara sur ses genoux. Elle était frêle et plutôt de petite taille tandis que lui était plutôt baraqué et grand. Ils s'emboitaient parfaitement. Il continua à lui caresser les cheveux, comme pour l'apaiser; il essuya ses larmes séchés avec son pouce en lui murmurant quelques paroles réconfortantes. Et finalement, il demanda tendrement, sans impatience ni insistance dans la voix :

Raconte moi....J'aime pas te voir comme ça. Dis moi ce qui e va pas. S'il te plait...
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyLun 19 Juil 2010 - 17:08

Cette nuit ne cessera jamais de me hanter, je n'arrivais pas m'enlever les cris de terreur de ma mère et les hurlement de mon père me demandant de m'enfuir. Autrefois, j'étais et fragile, je ne savais pas me battre comme aujourd'hui malgré le fait que je suis toujours un peu faible après tout je reste une femme. Lorsque j'ouvris mes yeux complètement embrouillé par les larmes, je sentis la main chaude de Zwan sur moi, elle me réconforta légèrement puis il se mit à nouveau à mes côtés me prenant dans ses bras caressant mes cheveux tout en me murmurant des mots réconfortant.

- Chut... Ça va aller, Amara, ça va aller... Je suis là, tu n'as plus à avoir peur, je suis là...

Je ne fis que me serrer encore plus dans ces bras tremblotante et pleurant toujours, je sentais encore la peur que j'avais ressentis cette nuit-là ainsi que la colère et la tristesse, j'avais perdu les êtres qui m'étaient le plus chère en ce monde, je savais que tout le monde finirait par mourir mais je n'aurai jamais imaginé que se serait de cette façon pour mes parents. Je me calmai peu à peu dans les bras de Zwan, mes sanglots s'arrêtèrent puis il se mit en tailleur et me mit sur ces genoux, de son pouce il effaça les larmes qui coulaient encore sur mes joues me murmurrant encore et encore des mots doux à mes oreilles. J'étais heureuse qu'ils soit à mes côtés, d'habitude j'étais seule pour affronter ma tristesse.

- Raconte moi....J'aime pas te voir comme ça. Dis moi ce qui ne va pas. S'il te plait...

Je me doutais un peu qu'il voulait savoir ce qui m'a mise dans cet état, j'évitais son regard regardant la voute céleste qui semblait elle aussi vouloir me réconforter.

- Mes parents se sont fait tuer par des bandits lorsque j'avais 13 ans. J'ai vu tout ce qui s'est passé, j'ai vu mon père se battre pour nous défendre ma mère et moi. Il me criait pour que je m'enfuis mais j'étais si paralysée que je ne parvenais pas un faire un seule geste.

Je m'arrêtai pour étouffer un sanglos prenant par la même occasion la main de Zwan dans la mienne pour qu'il me donne un peu de sa force.

- L'un des bandit à enfoncé son épée dans l'abdomen de mon père, je peux encore voir son visage souriant tourné vers le mien. Ensuite ses bandits s'en sont prient à ma mère, ils l'on violé, torturé et tué sous mes yeux. quand j'ai entendu le dernier cri de ma mère, je voyais l'un des hommes s'approchait de moi, riant et caressant mon visage avec ses mains imprégné du sang de mes parents. Je l'ai blessé avec ma pince à cheveux et je me suis enfuis. Je revins des heures plus tard mais les corps n'étaient plus là à la place, il y avait un grand feu et les ossements de mes parents.

Je mis mes mains sur mon visage et pleura de plus belle, je calais ma tête sur le torse de Zwan, je souffrai horriblement, mon coeur me faisait atrocement souffrir, c'était horrible de souffrir de la sorte. Malgré le temps qui a passé depuis ce jour, ma douleur ne s'était pas apaisai pour autant.

- Je m'en veux d'avoir était aussi faible, je n'ai pas pu sauver mes parents. Jamais je ne pourrai oublier le visage de ces hommes.
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Zwan Ist'Equin
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyLun 19 Juil 2010 - 19:59

Elle ne voulait pas croiser le regard de Zwan. Peut-être allait-elle la trouver lâche ? Il ne savait pas. Mais il préférait la laisser faire ce que bon lui semblait, et à cet instant, elle avait plutôt l'air de vouloir observer les étoiles.
Puis elle lui raconta son histoire. Elle lui avoua avoir vu ses parents. mourir, tués sous les coups de quelques affreux bandits. Des voix perçait un mélange de tristesse, de douleur et de culpabilité. Il savait. Il savait à quel point elle se sentait coupable de n'avoir rien pu faire. Lui aussi avait le cœur gros en repensant que sa mère était morte un peu par sa faute, aussi. Il l'avait tué, mais indirectement. La douleur n'en était pas moins apaisée. Alors il la comprenait, surement mieux que quiconque. Entre temps, elle laissa echapper quelques sanglots douloureux et serra la main de Zwan un peu plus fort, comme pour avoir la force de continuer.
Elle acheva son récit par :

- Je m'en veux d'avoir était aussi faible, je n'ai pas pu sauver mes parents. Jamais je ne pourrai oublier le visage de ces hommes.

Ce qui confirmait bien le fait qu'elle se sente coupable. L'assassin ne savait pas vraiment comment réagir. Généralement, avec les femmes c'était simple: il buvait, draguait, s'amusait un peu et les laissait tomber, comme tout assassin qui se respecte. Mais Amara était différente. Elle.. l'envoutait, en quelque sorte. Il l'aimait, il était sur et certain de ses sentiments. Il était si bien avec elle... Et pourtant, il se creusait la tête à la recherche d'une phrase réconfortante. Peut-être que s'il lui faisait part de son passé à lui... Non, ce serait irrespectueux envers la jeune femme, lui qui s'était toujours plaint alors que ce n'était rien comparé à son histoire à elle.

*T'es un idiot ! Pauv' type, va.*

Il leva les yeux au ciel, exaspéré, et s'aperçut que le ciel devenait violet, signe que le soleil n'allait pas tarder à faire son apparition. Après quelques cogitations spirituelles, il finit par se décider. Il fallait qu'il la rassure :

Ama, de nous deux, c'est moi le plus lâche !

Elle le regarda un moment, comme pour l'encourager à continuer. Il rit et l'embrassa tendrement -les petits baisers passagers devenaient de plus en plus habituels-.

Tu n'as pas à être coupable. Tu n'avais que treize ans ! A cet âge là, c'est normal que tu n'ai pas su les sauver. Tu te fais du mal pour rien, je t'assure. Ça va te sembler niais et bateau ce que je vais te dire mais les vrais amours persistent. Tu les aimais beaucoup, ce qui est tout à fait normal. Ils restent là, avec toi.

Après un petit instant de réflexion, il ajouta, de sa voix si charmeuse :

Comme toi. Tu seras à jamais à mes côtés.

Par là, il entendait qu'il la porterait toujours dans son cœur, qu'il ne l'oublierait pas. Il ne sous entendait pas du tout qu'elle lui appartenait, même si la tournure de la phrase pouvait faire en sorte qu'Amara s'y méprenne. Mais il savait qu'elle était intelligente, et qu'elle commençait à le connaitre. Jamais il ne traiterait une femme comme un objet, même s'il avait tendance à s'amuser avec, il fallait l'avouer.

*Pour une fois que t'en aime vraiment une... Mon pauvre, tu vas souffrir...*

Il ignora, encore une fois, mais les mots de la Voix l'embrouillait. Il ne désirait qu'une chose : aimer Amara, sans qu'il n'y ait d'obstacles. Et pourtant il y en avait : son travail. Il avait peur pour elle...
Alors que la crainte faisait son apparition, il tenta d'apaiser ses esprits en embrassant celle qui portait son cœur. Un baiser amoureux et passionné. Un baiser sauvage. Un baiser d'assassin.
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Amara
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyLun 19 Juil 2010 - 20:49

Les mots de Zwan apaisa peu à peu ma tristesse mais pourquoi disait-il qu'il était le plus lâche de nous deux ? Je ne comprenais pas mais ces baisers remplissaient mon coeur d'encore plus d'amour et de joie, des sentiments qui commençaient à être de plus en plus palpable. Je lui souris et le serra dans mes bras, lui prodiguant toutes la tendresse que j'avais pour lui, carressant ses cheveux avec l'une de mes mains et donnant un baiser sur sa joue, toute fois l'envie de m'amuser avec lui monta en moi, je lui soufflai à l'oreille et le mordilla gentiment puis je lui fis face lui offrant un clin d'oeil taquin, j'adorai voir son visage rougir par la gêne, il était tellement adorable. Jamais encore je n'avais vu un homme aussi gêné à ce point, moi je trouvais que ça donnait du charme et son visage est tellement agréable à regarder.

- Tu as raison, mes parents seront éternellement avec moi, comme je le serait avec toi ici dis-je en posant ma main sur son coeur.

Je ne pouvais m'arrêter de sourire, la tristesse avait laissé place à la joie, un sentiment qu'il m'offrait pour mon plus grand plaisir. Je me blottis contre lui et regarda le levé du soleil, le champs de fleurs donnaient des couleurs magnifiques et des senteurs vraiment très agréable. Rien de tel pour donner un peu de sérénité à nos deux coeurs battant à l'unisson.

On ne cessait pas de s'embrasser, nos baisers étaient tantôt doux, tantôt sauvage et passionné. C'est fout en un jour, on est tombé dans les bras l'un de l'autre malgré le fait que je lui ai fait croire qu'il ne se passerait rien entre nous mais il persistait restant parfaitement courtois envers moi, étrange pour un assassin mais ce qui le rendait séduisant à mes yeux.

- J'aimerai que ce levé de soleil dure une éternité.

Je relevais ma tête le regardant droit dans les yeux, la couleur de son regard devint brillant grâce à la lumière du soleil, ils étaient si beaux, je m'approchai de lui, embrassant son front, son nez pour finir avec sa bouche dans un baiser encore plus sensuelle et passionné que les précédents.
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyLun 19 Juil 2010 - 22:02

Elle ne semblait toujours pas comprendre ce qu'avait dit Zwan au sujet de la lâcheté. Et ce n'était pas étonnant. Il parlait de deux évènements en disant cela. Le premier, de ne pas avoir su préservé ni son père, ni sa mère. Et le second, d'avoir accepté l'offre de ce mage noir, au lieu de le repousser, comme un homme courageux l'aurait fait. Si seulement elle savait, pour qui le prendrait-elle ? Il n'avait pas le temps de se poser ces questions. Profiter de l'instant présent, voilà ce qui comptait, désormais. Il voulait profiter de la présence d'Amara le plus possible car il savait que bientôt, il devrait s'en aller...
Elle le serra tendrement dans ses bras et il accepta son étreinte amoureuse avec plaisir. Puis elle lui sourit d'une manière un peu... provocante, disons. Elle lui caressa les cheveux et déposa un baiser sur sa joue. Après ça, elle lui mordilla l'oreille et lui adressa un clin d'œil taquin. Zwan ne savait vraiment plus où se mettre. Voilà que désormais, elle prenait le contrôle tandis qu'il le perdait. Il rougissait à vue d'œil, ce qui semblait amuser la jeune femme qui prenait un malin plaisir à le faire tourner en bourrique.

- Tu as raison, mes parents seront éternellement avec moi, comme je le serait avec toi ici.

Elle porta la main sur son cœur, comme pour donner de l'appui à ses paroles. Elle ne pleurait plus. L'assassin avait réussi à lui redonner le sourire, et il était vraiment fier de son exploit. Ils se blottirent l'un contre l'autre pour regarder le magnifique lever du soleil. Les fleurs multicolores ajoutaient une touche de romantisme à ce paysage respirant déjà l'amour naissant. Elle se pencha vers lui pour l'embrasser. Ils ne se lassaient pas du contact de l'autre, de ses lèvres, de leurs mains baladeuses.

- J'aimerai que ce levé de soleil dure une éternité.

Lui aussi.. Si seulement elle savait combien elle lui faisait tourner la tête !
Il décida de prendre le contrôle sur Amara. Ils étaient toujours en train de jouer. Mais cette fois ci, il ne comptait ni rougir, ni se laisser faire. Ils s'embrassèrent un moment, jusqu'à ce qu'il la bloque, comme lors de leur rencontre. Il lui souffla un "Et maintenant?" sur le même ton que la fois dernière. Ils sourirent tous les deux, amusés par le comportement de Zwan. Cette fois ci, il se pencha comme pour l'embrasser mais lui effleura juste les lèvres. Il descendit le long de son visage et se mit à lui embrasser le coup. Il sentit sa "proie" frissonner, et il se mit à rire un peu comme pour se moquer. Il remonta et mordilla à son tour les oreilles d'Amara. Cette fois, c'était elle qui rougissait. Ils continuèrent un moment ainsi, tantôt lui sur elle, tantôt elle sur lui. Mais chaque fois, la même chose : des étreintes amoureuses, tendres et à la fois passionnés.
Le bruit de quelqu'un sifflotant dans la fraicheur matinale les ramena à la réalité. Il saisit la danseuse par la taille et la colla contre lui. Il tata les alentours de la main et saisit sa veste. Puis il plaqua sa bouche contre la sienne et ils disparurent.
Lorsqu'ils reparurent, ils étaient dans un quartier plutôt sombre. On pouvait entendre des miaulements de chats, des grincements sinistres et des cris sauvages. Pas très rassurant. il se détacha du corps d'Amara et lui saisit la main.

Chut !

Fit-il en la collant de force contre le mur. Des bruits de pas résonnèrent non loin de là. Ils étaient hors de vue dans la pénombre. D'un geste protecteur, il se mit devant la jeune femme, et plaqua sa main sur sa bouche, pour l'empêcher de parler. Des hommes affreusement laids, armés jusqu'aux dents, gras et barbus apparurent au bout de la ruelle. Amara hoqueta de colère et de surprise ; apparemment, elle les connaissait. Avant que Zwan n'ait pu la retenir, elle le repoussa violemment et courus vers les bandits.
Son instinct d'assassin l'appelait. Il devait la protéger. Alors, il dégaina son épée et courut sur ses talons en hurlant :

Non !
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyLun 19 Juil 2010 - 22:35

Je ne pouvais décrire le plaisir que je ressentais à être la cible de ses mains grandes et chaude Zwan, j'aimais être sous ces caresses et ses baisers, je ne pouvais m'empêcher d'en demander encore plus à chaque fois. De la pure gourmandise, une gourmandise sensuelle, sucrée et où nos corps et nos baisers ne cessaient de se mélanger. On n'arrêtait pas de se sourire l'un et l'autre ayant l'impression que l'on était seule au monde. Il me plaqua sur l'herbe, me regardant droit dans les yeux me disant les mêmes mots que hier lorsque je l'ai plaquai au sol et lui faisant croire que j'allais l'embrasser à la différence que lui m'effleura les lèvres pour descendre à mon cou, son souffle me fit frémir et je rougis à mon tour. On roula dans l'herbe ne se décollant pas, une fois moi dessus et puis lui mais le sifflement d'une personne se fit entendre puis il nous téléporta.

Il aurait pu choisir un autre endroit que celui-là, moins noirs et moins effrayant mais bon tant qu'on était tout les deux s'était l'essentiel. Mon regard se fixa derrière son épaule, là devant moi, ils étaient, les meurtriers de mes parents, nuits et jours j'ai rêvé de pouvoir les venger et ils étaient enfin là. Ma colère augmenta, je poussai Zwan et courut vers eux. L'un d'eux se tourna vers moi, me sourit, je le reconnu, c'est l'homme que j'avais blesser pour m'enfuir. Comment pourrai-je oublier ce visage ? Il me souriait niaisement, il sentait l'alcool, il était aussi sâle que la dernière fois.

- Tiens c'est bizarre, on se serait pas déjà croisé ?

J'entendis Zwan dire quelque chose mais je n'y fit pas attention, mon intention était porté sur ces hommes qui avaient détruis ma vie et celle de mes parents.

- Il y a quelque année tu as tué mes parents avec tes amis et moi je t'ai blessé à la cuisse gauche avec ma pince à cheveux.

Il ne semblait pas comprendre un mot de ce que je lui disais, il me regardait bizarrement puis il sourit sadiquement.

- Ah oui ! Et bien tu as sacrément grandis, tu es bien plus jolie que ta mère mais es-tu aussi bonne qu'elle pour crier. Hein les gars !

Ces amis rigolèrent avec lui, ma colère ne fit qu'augmenter plus, Shihara passa à côté de moi, il était de retour de sa chasse nocturne.

* - Qu'est-ce qu'il y a ?*

* - C'est eux qui ont tuait mes parents ! Prête-moi ta force Shihara. *

* - Très bien *

Shihara tourna autour de moi, je ne voulais pas m'éterniser à faire des pas de danse inutile, je voulais en finir le plus vite, à cet instant, j'avais l'impression d'être une tout autre personne, comme dénué de toute morale et de sentiment, la pitié ne faisait plus partie de mon vocabulaire et encore moi de mon esprit. Je voulais venger la mort de mes parents, il m'avait volé mes plus précieux trésors mais sans que je comprenne quoi que se soit. Ils tombèrent un à un par terre nageant dans leur propre sang. Je regardai leur corps sans esquisser un seul mouvement. Je sentis seulement qu'on me secouait délicatement et qu'on me parlait.

Lorsque je repris le contrôle de moi même, je me rendis compte que mes pouvoirs étaient toujours en action, le vent se faisait féroce autour de moi. Ce qui me calma c'était le visage de Zwan face à moi, je le regardais mes larmes coulaient mais aucun son ne sortait de ma bouche. Me maudissant pour ce que j'allais faire mais je ne pouvais pas m'en empêcher, cette fois-ci, je ne voulais pas tuer pour me défendre mais par pure et simple vengeance, ce sentiment semblait aussi fort que celui de l'amour. Je regardai Zwan reprenant enfin pleine possession de mes moyen, je calmai ma colère, le vent s'apaisa jusqu'à disparaître.

- Zwan....
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyMar 20 Juil 2010 - 10:14

Zwan continuait de courir, tandis qu'Amara rafraichissait la mémoire de ces infâmes personnages. Puis, sans crier gare, sa chouette, ou son hibou -il ne savait pas exactement, mais il s'en fichait, à ce moment là- se mit à voltiger autour d'elle, créant ainsi des bourrasques. La danseuse décolla du sol, paupières closes, et un vent violent fit reculer les hommes. Une frtive pensée traversa l'esprit du jeune homme : "Le vent ne va pas les arrêter !". Et il avait raison : les bandits avançaient toujours vers le jeune femme, un sourire carnassier sur le visage. Il s'arrêta un moment, horrifié par la vision d'horreur qui s'imposait à lui. Il comprit ce qu'il avait à faire. il fit quelques pas de plus, arme à la main, jusqu'à être entrainé par les courants d'air créés par Amara. Il se laissa porter, et à chaque fois qu'il passait vivement près d'un homme, il jouait avec son arme. Ils tombèrent un à un au sol, baignant dans un mare de sang commune.

*BARBARIE !*

Et pour une fois, la voix avait raison. Mais il s'était senti obligé de la protéger, peu importe ce qu'il devait en tirer par la suite. Il s'en fichait. Tout ce qui comptait, c'était sa vie. Non pas la sienne, mais celle de son amour. Cette dernière semblait perdue, elle n'avait pas l'air de se rendre compte que c'était fini. Le vent continuait à tout faire voler aux alentours. Avec une force inexpliquée, Zwan se hissa jusqu'à Amara. Il la prit par la taille et la fit doucement redescendre sur terre. Elle ne volait qu'à quelques centimètre du sol. Il lui caressa un moment les cheveux, pour la ramener à la réalité, pour tenter de sécher les larmes qui coulaient sur ses joues rose. de poupée. Peu à peu, elle reprit ses esprits, jusqu'à murmurer le nom de celui qui la consolait.
Il l serra fort dans ses bras, si fort que la poupée de porcelaine risquait de se briser. Il avait eu si peur de la perdre... Si peur.. peur qu'elle meure. Et soudain, une réalité troublante s'imposa à lui : à chaque seconde passée avec elle, il mettait sa vie en danger. Et il ne se le pardonnerait pas s'il devait lui arriver quelque chose. Alors, il se détacha délicatement d'elle. Ses sanglots s'étaient tus, et les battements de son cœur se faisaient de plus en plus régulier. Elle tiendrait surement le choc, du moins il l'espérait. Il prit sa tête entre ses mains, lui déposa un baiser sur le front avant de déclarer, la voix tremblante :

Amara... J'ai passé plus qu'une bonne journée à tes côtés. Jamais je n l'oublierai. Mais voilà, je m'en vais. Je pars, on se recroisera plus.

*Sale lâche ! Crétin ! Minable !*

Il baissa la tête, de peur d'affronter son regard. Dès l'instant où il l'avait vu, il avait su qu'il souffrirait de son amour. Et l'heure était venu. Rien que de lui annoncer ça, il en avait le cœur brisé. Il avait envie de vomir tellement il avait mal. Sa gorge était serrée et il retint ses larmes, de peur de passer pour un faible.

*Tu es un faible. Et tu vas souffrir.*
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyMar 20 Juil 2010 - 10:41

Peu à peu, je revins à la réalité, les caresses de Zwan me faisait le plus grand bien, ils appaisaient ma colère et ma vengeance, je jetai un coup d'oeil vers le bas, voyant les corps baignant dans leurs sang, il avait tué les assassins de mes parents. Il l'avait fait pour moi ? Pour me prtéger ? Cette action me fit davantage comprendre que je l'aimais pas seulement pour ce qu'il avait fait mais dans ses bras je me sentais aimé et et en sécurité comme jamais.

Mais étrangement, je ne me souvenais plus ce que j'étais sur le point de faire, je voyais Shihara se poser sur une caisse de bois non loin, complètement épuisé. Qu'est-ce que l'on a fait ? Où plutôt qu'est-ce qu'on était sur lr point de faire ? La vue des corps me rappela cette intense haine qui s'était emparé de moi, de cette vengeance que je voulais réaliser, des sentiments qui étaient tout aussi fort que l'amour que je ressentais pour Zwan. comme c'est étrange des sentiments aussi négatifs pouvaient être aussi puissant. Deux opposé qui se ressemble tellement. Jamais encore, je n'avais ressentis ce genre de haine et de vengeance, tout s'était réveillé à l'instant même où j'ai posé mes yeux sur ces hommes qui avaient enlevé la vie de mes parents et qui avait détruit la mienne. Enfin avant je pensais ça mais maintenant, Zwan m'avait réconforté, aimé comme je ne pourrai l'imaginer.

Zwan prit ma tête entre ses mains et m'embrassa sur le front, ce simple contact me rendait heureuse mais je ne m'attendais pas à la suite.

- Amara... J'ai passé plus qu'une bonne journée à tes côtés. Jamais je n l'oublierai. Mais voilà, je m'en vais. Je pars, on se recroisera plus.

Mais qu'est-ce qu'il raconte ? Il part ? Il me quitte ? Mais pourquoi ? Comment ose-t-il me faire ça après ce que l'on a vécu cette nuit, certe il n'y avait rien de sexuel mais il y avait de la tendresse et de l'amour entre nous. Oui ! Je suis sûre qu'il y avait de l'amour. Je ne pouvais rien dire, mes larmes commençait à brouiller ma vue, mais je ne voulais pas les lui montrer, je le giflais aussi fort que je le pouvais. Puis me calmant intérieurement, je déclarai d'une voix en colère et blessée.

- Alors tu t'en vas ! T'a passé un bon moment dans mes bras ! Tu t'es bien amusé mais tu me laisse comme une vieille chaussette ! Comment ose-tu me dire ça de façon aussi détaché et normal.

Cette fois ce n'est une gifle que je lui donna mais un coup de poing en plein visage, mon adrénaline était tellement élevé que je ne sentis aucune douleur.

- Je te hais encore plus que ces hommes qui sont morts ! Je te déteste !!!!!

Les larmes débordèrent de mes yeux, je partis en courant et en pleurant, loin de lui, loin de cette endroit où je l'ai connu. Désormais quand je verrai un champs de fleurs, je ne ressentirais plus du bonheur mais de la douleur.

Shihara ne comprenait pas ce qui se passait mais la seule chose qu'il savait c'est que cette humain à fait souffrir sa protégée, son amie, sa maîtresse avec ces paroles. S'il y avait une chose que Shihara détestait c'était de la voir souffrir. Il la regarda partir en pleure, c'était si rare, elle qui qouriait tout le temps. Pris de colère, Shihara picora violemment la tête de ce Zwan avant de s'envoler pour rattraper sa maîtresse et de la consoler. Mais c'était difficile de guérir un coeur brisé, il n'y a aucun remède à cela. Mais il essaiyer à nouveau de la faire sourire comme avant.
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Zwan Ist'Equin
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MessageSujet: [comptabilisé]   Excusez moi, je dois vous tuer [Privé : Zwan, Amara] EmptyMar 20 Juil 2010 - 10:56

Les larmes repartirent de plus belle, sous le regard abattu et douloureux de Zwan. Il avait mal. Pour elle, pour lui, pour eux. Il avait que ce n'était pas une bonne idée; Mais il préférait souffrir jusqu'à la fin de sa vie que de la voir au cimetière par sa faute. Il avait donné le mal plus qu'il ne l'aurait voulu autour de lui, et il refusait de voir le corps inanimé d'Amara juste parce qu'il était assassin. Et dire que si dans son enfance il n'avait pas été lache, il serait devenu un gentil commerçant tout mignon, sans être un assassin dangereux. Mais s'il n'avait pas dit oui au mage noir, jamais il ne l'aurait rencontré. Mais jamais il n'aurait souffert... Tant de pensées contradictoires l'assaillaient jusqu'à ce que la jeune femme lance, désespérée après lui avoir foutu une bonne gifle :

- Alors tu t'en vas ! T'a passé un bon moment dans mes bras ! Tu t'es bien amusé mais tu me laisse comme une vieille chaussette ! Comment ose-tu me dire ça de façon aussi détaché et normal.

Ses mots étaient tranchants, et le touchèrent droit au cœur. Il crut mourir, tant il avait mal. Surement plus qu'elle. Là où la main de son maour l'avait gifflé, sa joue brulait. Encore plus fort que les baisers brûlants qu'elle avait déposé sur ses lèvres auparavant. Il se souvenait encore de tout. Il voulait la prendre dans ses bras, lui annoncer que tout ça n'était qu'une plaisanterie. Mais il fallait qu'il la laisse continuer sa route. Elle était déjà assez exposée au danger ainsi, pas besoin d'une menace supplémentaire.
Un poing dans le nez le fit tituber, avant qu'elle ne crache :

- Je te hais encore plus que ces hommes qui sont morts ! Je te déteste !!!!!

Elle tourna les talons, quelques larmes goutèrent et vinrent s'écraser à l'endroit où elle était une seconde auparavant. Son hibou blanc -ou chouette, peu importait- vola vers l'assassin et lui assena des coups de becs douloureux. Ils s'éloignèrent, lui en volant et Amara en courant. Il se sentait affreusement seul. Avant, il savourai cette solitude, mais depuis qu'il l'avait rencontré, il ne désirait qu'être en sa compagnie. Jamais il ne l'oublierait, jamais il ne la reverrait, mais toujours il souffrirait. Il le savait. Il l'avait toujours su. Quelques larmes amères roulèrent le long de ses joues. Il murmura à l'adresse du vent, certain qu'il porterait ses mots à sa destinataire :

Je t'aime mon amour. Adieu.

Il tourna les talons. Il savait ce qui lui restait à faire. Tuer son client pour toute la souffrance qu'il lui avait causé.


-RP fini !-
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